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L'Affaire de la rue de Lourcine

Labiche Eugène
Date de parution 13/02/2023
EAN: 9791041943074
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
"L'Affaire de la rue de Lourcine" est une comédie en un acte écrite par Eugène Labiche, Albert Monnier et Édouard Martin, représentée pour la première fois en 1857 au théâtre du Palais-Royal à Paris. L'intrigue se déroule dans la chambre à coucher de... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
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ÉditeurCULTUREA
Nombre de pages68
Langue du livreFrançais
AuteurLabiche Eugène
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/02/2023
Poids102 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,40 x 14,80 x 21,00 cm
Une comédie d'erreurs et de quiproquos dans le Paris du XIXe siècle
"L'Affaire de la rue de Lourcine" est une comédie en un acte écrite par Eugène Labiche, Albert Monnier et Édouard Martin, représentée pour la première fois en 1857 au théâtre du Palais-Royal à Paris. L'intrigue se déroule dans la chambre à coucher de Lenglumé, un rentier parisien, qui se réveille après une nuit de beuverie sans se souvenir des événements de la veille. À son grand étonnement, il découvre un inconnu, Mistingue, dans son lit. Les deux hommes, anciens camarades de l'institution Labadens, tentent de reconstituer les événements de la nuit passée. Ils sont rapidement confrontés à une série de quiproquos et de malentendus, au moment où ils découvrent dans le journal qu'une jeune charbonnière a été assassinée et que les indices semblent les incriminer. Pris de panique, Lenglumé et Mistingue essaient de dissimuler les preuves qui pourraient les lier au crime, tout en jonglant avec les visites de Norine, la femme de Lenglumé, et de Potard, un cousin. La situation se complique davantage lorsque Potard révèle qu'il a vu Lenglumé et Mistingue la veille, mais dans un contexte qui les disculpe. Finalement, un vieux journal révèle que l'affaire de la charbonnière date de vingt ans, innocentant ainsi les deux protagonistes. La pièce se termine sur une note humoristique, avec Lenglumé et Mistingue soulagés de ne pas être coupables, mais toujours embourbés dans leurs propres maladresses.