Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le Cogito newmanien

Solari Grégory
Date de parution 14/04/2021
EAN: 9791037008244
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Quelques mots. C’est peut-être à cet indice que se reconnaît le philosophe authentique. À l’économie des termes par lesquels se dit l’essentiel de l’intuition dont vit l’esprit. Des mots inséparables de la conscience de soi, et grâce auxquels nous po... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurHERMANN
Nombre de pages194
Langue du livreFrançais
AuteurSolari Grégory
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution14/04/2021
Poids296 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 15,20 x 22,90 cm
Suivi de La preuve du théisme
Quelques mots. C’est peut-être à cet indice que se reconnaît le philosophe authentique. À l’économie des termes par lesquels se dit l’essentiel de l’intuition dont vit l’esprit. Des mots inséparables de la conscience de soi, et grâce auxquels nous pouvons dire avec Descartes : « je pense, donc je suis », ou bien avec John Henry Newman (1801-1890), se découvrant pleinement fidèle à l’intention du geste cartésien dans son Journal philosophique : « je sens, donc je suis » – « sentio, ergo sum ». Le « cogito newmanien » tient dans ces quelques mots. Mais ces mots sont ceux de Descartes, vers lequel il se tourne à un moment décisif de son acheminement vers la maturation de sa propre pensée. Ce livre instruit le dossier de cette rencontre à partir d’une confrontation directe et structurelle de leurs doctrines respectives, notamment en donnant accès à la première traduction française des Fragments de 1859 du Journal philosophique. Tout se passe comme si Newman, dans sa lecture du cogito, reprenait en une conceptualisation à peine différente la thèse cartésienne fondamentale des Méditations II et III. Le cogito se présente non comme une déduction, mais comme une auto-affection attestant en même temps l’existence de l’ego et celle de Dieu.