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Bandits contre bandits

Kletzlen Anne, Mucchielli Laurent
Date de parution 23/01/2020
EAN: 9791032002520
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le livre propose une étude sociologique des homicides entre malfaiteurs perpétrés dans la métropole marseillaise à partir de dossiers d'enquêtes judiciaires ouvertes dans les années 2000. Les modes opératoires et les enjeux de ces meurtres, le profil... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU PROVENCE
Nombre de pages170
Langue du livreFrançais
AuteurKletzlen Anne, Mucchielli Laurent
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/01/2020
Poids274 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 16,00 x 24,00 cm
Les règlements de comptes à Marseille au cours des années 2000
Le livre propose une étude sociologique des homicides entre malfaiteurs perpétrés dans la métropole marseillaise à partir de dossiers d'enquêtes judiciaires ouvertes dans les années 2000. Les modes opératoires et les enjeux de ces meurtres, le profil des mis en cause et des victimes de ces homicides, les réseaux criminels impliqués permettent de montrer les recompositions du banditisme et des usages de l'homicide chez les malfaiteurs. L'ouvrage permet d'objectiver la situation marseillaise en exposant notamment qu'il y a moins de règlements de comptes aujourd'hui qu'hier, qu'il n'existe pas un Milieu qui serait fortement structuré ni plusieurs formes de banditisme. On n'assiste pas non plus à l'irruption d'une « nouvelle violence » imputable à des jeunes sans foi ni loiLe livre propose une étude sociologique des homicides entre malfaiteurs perpétrés dans la métropole marseillaise à partir de dossiers d'enquêtes judiciaires ouvertes dans les années 2000. Les modes opératoires et les enjeux de ces meurtres, le profil des mis en cause et des victimes de ces homicides, les réseaux criminels impliqués permettent de montrer les recompositions du banditisme et des usages de l'homicide chez les malfaiteurs. L'ouvrage permet d'objectiver la situation marseillaise en exposant notamment qu'il y a moins de règlements de comptes aujourd'hui qu'hier, qu'il n'existe pas un Milieu qui serait fortement structuré ni plusieurs formes de banditisme. On n'assiste pas non plus à l'irruption d'une « nouvelle violence » imputable à des jeunes sans foi ni loi