Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

L'idée de nature chez les rabbins antiques

Vârtejanu-Joubert Madalina
Date de parution 21/05/2024
EAN: 9789042950887
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Comment les rabbins de la Mišna et du Talmud conçoivent-ils l’idée de nature, entendue comme environnement ou comme quiddité? Notre ouvrage tente de répondre à cette question, en étudiant notamment l’opposition nature-artifice à travers l’exemple de ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPEETERS-FRANCE
Nombre de pages268
Langue du livreFrançais
AuteurVârtejanu-Joubert Madalina
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution21/05/2024
Poids500 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 16,00 x 24,00 cm
Éléments d'anthopologie historique
Comment les rabbins de la Mišna et du Talmud conçoivent-ils l’idée de nature, entendue comme environnement ou comme quiddité? Notre ouvrage tente de répondre à cette question, en étudiant notamment l’opposition nature-artifice à travers l’exemple de la fabrication du toit (sekhakh) pour la fête de Sukkot. Il montre que la quiddité est exprimée par la double métaphore de l’« empreinte » et du « chemin », que le monde est conçu comme une amulette divine et que l’ordre cosmique et humain se rattache à la notion de « coutume du monde ». Il s’avère enfin que les rabbins ont cru à la mutabilité de la nature. Presque jamais évoquée dans les enquêtes ethnographiques ou dans les travaux de synthèse, la pensée rabbinique de la nature offre pourtant un matériau analogique d’une exceptionnelle richesse. Cette même pensée est également paradoxale, en ceci que son caractère éminemment théorique s’origine dans des injonctions pratiques. Dans la dimension comparatiste de notre travail, nous montrons, à partir du dispositif heuristique de Descola, que les rabbins ont développé une ontologie analogiste où les choses et les êtres se donnent comme des entités discrètes ayant des intériorités et des physicalités propres.