Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Les Contrefaits

Jordeczki Alexandre
Date de parution 07/09/2025
EAN: 9782959372056
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Sur le plateau de N’ayons pas peur des mots, Benoît Wyzewski incarne la passion littéraire : sourire charmeur, compliments soyeux, admiration de rigueur pour les auteurs à la mode. L’animateur vedette rayonne. Un esthète, un vrai !Mais derrière les... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLA GIBERNE
Nombre de pages232
Langue du livreFrançais
AuteurJordeczki Alexandre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution07/09/2025
Poids450 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,00 x 15,20 x 22,90 cm
« Sur le plateau de N’ayons pas peur des mots, Benoît Wyzewski incarne la passion littéraire : sourire charmeur, compliments soyeux, admiration de rigueur pour les auteurs à la mode. L’animateur vedette rayonne. Un esthète, un vrai !Mais derrière les projecteurs, le masque glisse. En coulisses, Benoît se révèle odieux, cynique, lubrique, méprisant. Jusqu’au soir où un certain Melchior Capel — écrivain aussi creux que révéré — ose l’annihiler en direct, dénonçant, hilare, la médiocrité d’un monde éditorial gangrené par le copinage. L’humiliation est publique. Irréversible.Commence alors la chute. Méthodiquement, tout s’effondre autour de Benoît. Et ce qui devait être une simple polémique devient un miroir tendu à ses propres contradictions.Roman cruel et jubilatoire, Les contrefaits démonte les illusions de notre époque : postures lisses, jeux de pouvoir, hypocrisie des rapports hommes-femmes, vernis du politiquement correct… Avec une ironie féroce, il nous force à cette question : et si tout n’était que simulacre ? »