La vie est belle... Juste pas possible !?
« Je ne fais juste que t’aimer, comme je le peux, à ma manière, trop peut-être, mal sans doute, ne m’en veux pas, je fais juste mon possible ».Dans ce roman, Philippe Pelletier, nous fait découvrir les méandres sinueux d’un amour juste pas possible !Une histoire qui réunit deux êtres que tout sépare, que le temps et la distance avaient éloigné il y a peu encore et qu’un dimanche ensoleillé d’hiver rapproche d’une manière inespérée, insensée, passionnée ; faisant de la vie une belle histoire.Chacun est, sans le savoir, à un tournant de sa vie. L’un l’a déjà amorcé, l’autre ne sait encore quel chemin il va emprunter.Cette relation qui s’amorce sous d’heureux auspices, celui de leurs regards qui se croisent et ne se quittent plus, devient, non sans difficultés une trop belle histoire que la vie rendra progressivement trop difficile. Il en hurle à l’amour !Le rêve se transformera-t-il en cauchemar ou, au contraire, continuera-t-il sous forme d’un espoir insensé ?L'auteur : "La passion, notamment la passion amoureuse m’a toujours fasciné. Lorsqu’elle s’empare de l’être humain doté de raison, elle l’entraîne dans un déchaînement de déraison. Il perd alors tous ses repères, obnubilé par l’objet de cette passion qui le dévore, s’échappant à lui-même.Elle a nourri les réflexions de nombreux philosophes de Platon le rationaliste pour qui elle brouille le jugement à Nietzche le romantique qui y voit une libération ! La psychanalyse considère principalement que la passion amoureuse découle de l’idéalisation de l’être aimé.Elle constitue le thème principal de cette fiction alimentée par l’observation de mes congénères, de discussions entre ami(e)s et, sans doute un peu aussi, d’expériences vécues… J’y ai puisé la nature souvent complexe des deux personnages principaux de ce roman. L’imagination a fait le reste…Au risque d’égarer un peu le lectorat, c’est volontairement que je n’ai pas souhaité nommer ni les acteurs ni les lieux ; parce que la passion s’affranchit de tout et de tous, elle peut concerner n’importe lequel d’entre nous. Celles et ceux qui la connaissent ou l’on connue pourront y retrouver un peu de leur vécu."
