Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

38 - MARIE VICTOIRE JAQUOTOT 1772-1855 PEINTRE SUR PORCELAINE

Date de parution 01/01/2006
EAN: 9782952352222
Disponibilité Manque temporaire
La longue carrière de la parisienne Marie-Victoire Jaquotot (1772-1855), à la manufacture de Sèvres, débuta avec le siècle. Agréée comme ' peintre de figures ' elle multiplia les effigies de l'Empereur et des personnages, les plus importants à divers... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSHAF
Nombre de pages248
Langue du livrePas de contenu linguistique
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/2006
Poids1200 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
La longue carrière de la parisienne Marie-Victoire Jaquotot (1772-1855), à la manufacture de Sèvres, débuta avec le siècle. Agréée comme ' peintre de figures ' elle multiplia les effigies de l'Empereur et des personnages, les plus importants à divers titres, de son époque. Musicienne et cultivée, elle participa au mouvement du retour aux valeurs nationales, en copiant sur porcelaine des portraits historiques. Tout d'abord sur des pièces de service mais peu à peu, elle y ajouta la spécialité de copies de tableaux anciens qui l'amena à s'affranchir des formes utilitaires pour de grandes surfaces encadrées comme des tableaux et ayant même statut. Cette évolution se fit par le biais de la copie des maîtres de la Renaissance italienne. L'époque se préoccupe de l'état de conservation des tableaux et croit leur dégradation, irréversible. La céramique, réputée ' inaltérable ' et d'un rendu moins grossier que la mosaïque, apparaît comme le moyen de préserver ce patrimoine pour les générations futures. Alexandre Brongniart, administrateur nouvellement nommé de Sèvres, en est le premier persuadé : aussi perfectionna-t-il le mode de fabrication des plaques en porcelaine dure et, dès 1814 réussit-il la mise au point de leur coulage. Il y eut donc coïncidence entre les aspirations esthétiques d'une époque, une technique élaborée et la manière précieuse d'une artiste raffinée capable de se fondre dans l'esprit d'un maître, au moins aux yeux de tous ses contemporains. Ainsi s'expliquent tant de soins, de patience et d'argent pour copier ces tableaux.