Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Disgrâce couronnée d'épines

Golberg Mécislas, Coquio Catherine
Date de parution 06/12/2018
EAN: 9782919648238
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Disgrâce couronnée d'épines est un journal écrit d'octobre 1906 à décembre 1907 par Mécislas Golberg, dans un sanatorium, à la fin de sa vie. C'est un journal d'agonie qui pense la mort au jour le jour. C'est un texte d'une grande ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPONTCERQ
Nombre de pages296
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurGolberg Mécislas, Coquio Catherine
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/12/2018
Poids3 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,20 x 1,30 x 2,00 cm
Disgrâce couronnée d'épines est un journal écrit d'octobre 1906 à décembre 1907 par Mécislas Golberg, dans un sanatorium, à la fin de sa vie. C'est un journal d'agonie qui pense la mort au jour le jour. C'est un texte d'une grande puissance littéraire qui permet de découvrir Mécislas Golberg, écrivain fascinant et méconnu, exilé polonais à Paris, anarchiste, poète, critique d'art, bohémien, journaliste et fondateur de la revue libertaire Sur le trimard . André Gide voyait en lui « une extraordinaire figure » et Apollinaire, « un homme auquel nous devons quelques-uns des livres les plus élevés et les plus émouvants de notre temps ».