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Y a-t-il une vie après la mort?

James Henry, Leforestier Lionel, Leforestier Lionel
Date de parution 07/10/2025
EAN: 9782919067664
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Je ne dirai pas que « le monde », comme nous le nommons d’habitude, devient plus attachant, mais que l’univers le devient, attentifs que nous sommes désormais à la prodigieuse multiplication de nos relations possibles av... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVAGABONDE
Nombre de pages80
Langue du livreFrançais
AuteurJames Henry, Leforestier Lionel, Leforestier Lionel
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution07/10/2025
Poids120 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 12,50 x 19,00 cm
« Je ne dirai pas que « le monde », comme nous le nommons d’habitude, devient plus attachant, mais que l’univers le devient, attentifs que nous sommes désormais à la prodigieuse multiplication de nos relations possibles avec lui, relations vagues encore, sans doute, aussi indéfinies qu’elles sont édifiantes ou excitantes pour la pensée, à une échelle qui dépasse notre usage ou notre emploi actuels, nous emplissant toutefois d’une vision illimitée de l’être. » (Henry James) Questionné en 1910 sur les chances d’une vie future, Henry James livre dans cet essai, traduit pour la première fois dans notre langue, une méditation qui éclaire aussi sa tâche de romancier, conçue comme une remontée, selon ses termes, vers des « sources supérieures ». Confronté aux négations matérialistes, ramassées dans l’image désespérante du « cerveau de laboratoire », il découvre dans le caractère expansif de la conscience un gage possible de survie. Si fragile soit la preuve, elle justifie l’art, qui se révèle exigence d’élucidation, comme la vie présente : le « beau risque » mérite d’être couru. Reconnu comme l’un des grands précurseurs du roman moderne (de Portrait de femme aux Ambassadeurs en passant par Les Ailes de la colombe ), Henry James (1843-1916) fut aussi un critique abondant, dont l’œuvre considérable a pu être placée sous l’emblème de la « religion de la conscience ».