Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Un pot-pourri de Kroutchev

Souvarine Boris
Date de parution 01/01/1970
EAN: 9782902963843
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
En 1970, pour des raisons obscures, les dirigeants de l'Union soviétique firent parvenir aux États-Unis un épais volume contenant, sans ordre vraiment apparent, des souvenirs de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union sovi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSPARTACUS
Nombre de pages48
Langue du livreFrançais
AuteurSouvarine Boris
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/1970
Poids48 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,50 x 11,50 x 18,50 cm
En 1970, pour des raisons obscures, les dirigeants de l'Union soviétique firent parvenir aux États-Unis un épais volume contenant, sans ordre vraiment apparent, des souvenirs de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique de 1953 à 1964. C'était la première fois que le parti soviétique laissait - ou plutôt faisait - publier ainsi à l'étranger le point de vue personnel d'un ancien dirigeant du parti et de l'État. Analysant ces textes, ordonnés tant bien que mal par le traducteur américain et qu'il qualifie de « machination énigmatique », Boris Souvarine y trouve des erreurs manifestes, volontaires ou non, des omissions étonnantes, mais aussi des confirmations des crimes effroyables commis par le régime stalinien qu'il avait su, avec quelques autres, identifier et dénoncer dès les années trente.