Quand reverrai-je la maisonLes toits ont bruni au soleilles larmes perlent la vieillesse des saisons Sur les routes laPoussière s’est raidie en stèleMorceau de temps et je saisLes pas que j’ai oubliés sur leSable (…) Mais je ne connais plus les routes ni lesChansons j’ai perdu les cigales de MpissaLa nuit au bord du fleuve derrière moi unNuage parle une langue que je n’entends pasJ’aurais perdu la mienne dans le sillage d’uneLangue devenue une autre je ne sais plusComment chantaient les oiseaux ni le temps