Parfois la vie tape à coups redoublés répétés avec un tempo de scierie et l’on sait que de la tristesse de l’épuisementrenait toute joie tout apaisement tout amouret l’on n’en veut pas à ce qui a tapé au hasardà ceux qui à leurs corps se défendantont apaisé puis affuté la peine.et l’on voudrait encore leur parlerles avoir dans les bras.on sait que tout passe tout tourne tout renaitfloraison et autreson a encore soif très soif d’avenirmais la lucidité n’a jamais évité la douleuret l’on chiale parfoison sait le moment où les boutonsse rouvrirontet nous n’oublierons pas d’être fleursrouge jaune.