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Chambeau Marc
Date de parution 14/09/2020
EAN: 9782872672264
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ils nous ont dit : «Enfermez-vous!» et nous nous sommes enfermés.Oui, le covid 19 tue. Et le nombre de ses victimes nous effraie.Mais qui parle des victimes du confinement, prédateur sournois, silencieux, inattendu, et dont on ne saura sans doute jam... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCERISIER
Nombre de pages-
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurChambeau Marc
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution14/09/2020
Poids-
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 12,50 x 20,00 cm
Portes closes. Cris et chuchotements et colères au temps du virus
Ils nous ont dit : «Enfermez-vous!» et nous nous sommes enfermés.Oui, le covid 19 tue. Et le nombre de ses victimes nous effraie.Mais qui parle des victimes du confinement, prédateur sournois, silencieux, inattendu, et dont on ne saura sans doute jamais mesurer les séquelles.C’est de ces victimes-là que nous parle Marc Chambeau. Avec empathie, tendresse, solidarité. Avec colère aussi. Ses courtes histoires nous parlent de Mélissa et d’Adil, de Louis ou de Céline, de Laura, Antonio ou Sophie… Elles parlent aussi de nous, parce que nous y sommes tous passés, pris au dépourvu, impuissants, infantilisés, considérés comme irresponsables.Chacun peut se retrouver dans ces vies confisquées. Elles nous poussent à réfléchir sur cette crise qui n’est pas que sanitaire, mais aussi sociale, démocratique, politique. Pour mieux y faire face, la prochaine fois…Collectivement, ni isolés, ni confinés.Quand on a annoncé le confinement, c’est apparu tellement hors réalité. Mais on était pourtant en plein dedans. Vraiment. Peut-être que c’était une expérience à vivre? Ou peut-être pas…Très vite cependant, un malaise. Le sentiment pour certains qu’on était tous dans le même bateau… Alors que la flottille était bien plus composite. Pour certains c’était les yachts imposants. Pour d’autres des pneumatiques, parfois même en manque de rustines. Et très vite, alors, la colère. La colère à propos de ces commentaires dans la presse. Sur les réseaux sociaux. Qui condamnaient ceux qui respectaient moins. Ceux des canots pneumatiques. Sans chercher à comprendre les raisons de ce non-respect. Parce qu’il pouvait y en avoir des raisons. Parfois bonnes. Le plus souvent bonnes. L’envie de réagir. L’idée du coup de gueule. De la dénonciation de ces commentaires qui refusaient même d’envisager que l’ordre de confinement adressé à certains soit d’une violence sans nom. Qui refusaient de comprendre que pour beaucoup, la vie était difficile avant le confinement. Mais qu’avec lui, ça devenait tout bonnement insupportable.