Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Ecrire la corrida

Jean Marion, Le carpentier Jean-Marie
Date de parution 10/08/1993
EAN: 9782868691446
Disponibilité Manque temporaire
Ecrire la corrida, c'est d'abord, pour la plupart, écrire le taureau, acteur principal du drame, symbole de force et de fertilité, objet de toutes les fascinations, de toutes les terreurs, aussi... C'est ensuite poser un regard, admiratif souvent, go... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurACTES SUD
Nombre de pages256
Langue du livreFrançais
AuteurJean Marion, Le carpentier Jean-Marie
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/08/1993
Poids220 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 10,00 x 19,00 cm
Ecrire la corrida, c'est d'abord, pour la plupart, écrire le taureau, acteur principal du drame, symbole de force et de fertilité, objet de toutes les fascinations, de toutes les terreurs, aussi... C'est ensuite poser un regard, admiratif souvent, goguenard parfois, sur l'homme qui ose l'affronter, et s'interroger sur ces gestes d'une étrange marginalité qui fondent l'esthétique et, en fin de compte, l'éthique taurine... C'est aussi arpenter le lieu du drame, l'arène, ce formidable théâtre de la mort, sur la scène duquel la mort n'est pas simulée, où le spectateur est acteur à part entière. (...) Deux thèmes, enfin, dominent tous les autres, ou plutôt les imprègnent, presque obsessionnellement : l'érotisme et la mort, la possession et la dépossession suprême. MARION JEAN JEAN-MARIE LE CARPENTIER