Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Dénazifier, le cas de la Gestapo toulousaine

Vaissié Cécile
Date de parution 20/02/2025
EAN: 9782862668406
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
À partir de novembre 1942, début de l’occupation de la zone dite «?libre?» par les Allemands, et jusqu’à la Libération, le KdS, un service de la police de sécurité du Reich – la Sipo-SD, dont l’une des sections était la Gestapo de sinistre mémoire – ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLOUBATIERES
Nombre de pages376
Langue du livreFrançais
AuteurVaissié Cécile
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/02/2025
Poids416 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,60 x 14,00 x 31,00 cm
À partir de novembre 1942, début de l’occupation de la zone dite «?libre?» par les Allemands, et jusqu’à la Libération, le KdS, un service de la police de sécurité du Reich – la Sipo-SD, dont l’une des sections était la Gestapo de sinistre mémoire – est installé à Toulouse. En 1944, le KdS de Toulouse employait 192 personnes, dont 108 basées dans la Ville rose et les autres dans les antennes extérieures (dont Cahors ou Montauban). Plus encore y ont travaillé, à une période ou une autre.Qui étaient ces Allemands et que sont-ils devenus après la guerre?? En juin 1953, le procès du KdS de Toulouse s’est tenu à Bordeaux, mais seuls deux responsables allemands ont été jugés en personne et libérés à l’issue du procès, six autres étant jugés par contumace faute d’avoir été retrouvés ou de s’être présentés. Pourquoi deux seulement?? C’est ce qu’explique ce livre, basé sur de très nombreuses archives, françaises et allemandes.Le livre explore les parcours d’après-guerre d’anciens du KdS toulousain et montre comment la RFA, après avoir tenté d’aider ses prisonniers de guerre détenus, a créé des institutions pour rechercher et interroger les responsables de crimes de guerre. Grâce à cette évolution de la société allemande, et même si aucun autre procès d’anciens du KdS de Toulouse n’a eu lieu après celui de 1953, ces hommes ont pu craindre, jusqu’à leur mort, des poursuites et des stigmatisations dans leur propre pays.