Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Marayat

LESOUALC'H Théo
Date de parution 11/06/2014
EAN: 9782862312330
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Jamais l’art de Lésoualc’h n’a été aussi rapide, aussi proche du halètement. Les mots tombent serrés, et crèvent la page comme les pluies de la mousson. (…) Les mots sont aussi obscènes, à l’occasion, mais obscènes « avec une nécessité qui les anobli... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurMAURICE NADEAU
Nombre de pages136
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurLESOUALC'H Théo
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution11/06/2014
Poids200 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 13,50 x 21,00 cm
Jamais l’art de Lésoualc’h n’a été aussi rapide, aussi proche du halètement. Les mots tombent serrés, et crèvent la page comme les pluies de la mousson. (…) Les mots sont aussi obscènes, à l’occasion, mais obscènes « avec une nécessité qui les anoblit », comme dit Maurice Blanchot à propos de Georges Bataille. Marayat évoque souvent Madame Edwarda, mais là où Bataille pousse vers la nuit du mysticisme, et ses fastes glacés, LésouaIc’h tire vers les soleils du plaisir avec la force d’un homme convaincu que bonheur et liberté restent des idées neuves. Le corps de la femme était le dernier espace promis au vagabond toujours pressé de repartir pour arriver au bonheur avant la mort. Sincèrement, je crois que l’on n’oubliera pas un tel livre, qui secoue nos conformismes et nous désemmaillote de nos habitudes mentales. On le lit comme un message glissé sous la porte, et qui nous crie : « Vivez ! » Angelo Rinaldi – 1973 – L’Express. Réédition (2014)