« On sait combien les traces des civilisations antiques de l’Indochine sont rares en Cochinchine. Les moindres découvertes s’y rapportant doivent donc être signalées avec le plus grand soin. » Ainsi s’exprimait l’auteur de la chronique de l’année 1917 dans le Bulletin de l’École française d’Extrême-Orient. C’est en raison des préjugés scientifiques qui régnaient alors à l’égard de ce territoire que son exploitation archéologique se trouva différée pendant fort longtemps, si l’on excepte quelques incursions d’Henri Parmentier. Aussi, nous pardonnera-t-on d’avoir consacré quatre tomes à combler une lacune imputable à des retards évidents. L’étude archéologique du Delta du Mékong eût été incomplète si nous n’y avions compris le Cisbassac… »Louis MALLERETSommaireIntroductionPREMIERE PARTIEL’exploration archéologique du CisbassacChapitre premier. – Le pays entre-les-fleuvesChapitre II. – La plaine des joncsChapitre III. – Le bassin du DONG-NAIDEUXIEME PARTIELes faits de civilisationChapitre IV. – De la préhistoire à l’expansion de l’hindouisme khmèrChapitre V. – La statuaire bouddhique en boisChapitre VI. – La statuaire bouddhique en grèsAppendicesTROISIEME PARTIEIndex général des tomes I à IVTable des figures dans le texteTable des planches hors texte du tome IVPlanches hors texte