La mort est un réveil

Ces messages ont été reçus pendant l’été 1979. La montée de Georges Morrannier se poursuit, il fait de nouvelles expériences. Il juge les choses de plus haut, il aperçoit les cimes qu’il avait sans succès cherchées sur la terre indienne, le voici qui s’approche des sphères christiques. Il se réfère à présent au christianisme ésotérique, « celui auquel il faudra revenir un jour ». Ce nouveau livre où Georges parle seul, a été composé comme les deux précédents, pour ceux qui pleurent leurs disparus et pour tous ceux (oh combien nombreux !) qui redoutent la mort, la mort n’existe pas en tant qu’état définitif, elle existe seulement en tant que passage sur un plan infiniment supérieur. Elle est le seuil d’un monde où tout est lumière pour ceux qui ont mené une vie droite, un monde où handicapés et malades retrouvent un corps intact, un monde plus juste où l’on oublie les tourments et les tourmentes de la terre, où l’on comprend enfin que « Dieu est le point de départ et point de retour ».