Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

L'école du peuple

Cabanel Patrick
Date de parution 25/05/2023
EAN: 9782753593114
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Des lois Ferry aux 80 % d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat, la République s’est bâtie sur la promesse de la démocratisation par l’école. Mais la bourgeoisie s’est toujours réservé, à l’aide de barrières plus ou moins masquées, un accès p... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU RENNES
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurCabanel Patrick
FormatBook
Type de produitLivre
Date de parution25/05/2023
Poids112 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,30 x 11,00 x 18,00 cm
Histoire d'une hypocrisie sociale
Des lois Ferry aux 80 % d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat, la République s’est bâtie sur la promesse de la démocratisation par l’école. Mais la bourgeoisie s’est toujours réservé, à l’aide de barrières plus ou moins masquées, un accès privilégié à la réussite scolaire et sociale. C’était vrai du temps où le latin et le baccalauréat n’appartenaient qu’à quelques-uns. Puis, l’allemand ou les mathématiques ont pris la relève. Les classes préparatoires restent à peu près aussi éloignées de l’université, dans leur recrutement et leurs débouchés, que jadis le secondaire du primaire supérieur. Et l’enseignement privé, qui n’a presque plus rien de catholique, est l’arme décisive d’une ségrégation qui ne dit pas son nom. Tout cela est inévitable : il y va de la liberté des parents. Si du moins la bourgeoisie de gauche n’ajoutait à ses stratégies scolaires le cynisme ou la naïveté qui consistent à vanter l’école laïque, mais pour d’autres enfants que les siens… L’hypocrisie scolaire est de ces maux qui blessent au plus profond la République.