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Le Concile d’amour

Panizza Oskar
Date de parution 05/11/2008
EAN: 9782748900705
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Vers la fin du XVe siècle, Dieu prend connaissance par ses messagers du Ciel qu'à la cour des Borgia, la morale chrétienne est bafouée par un pape débauché, Alexandre VI, le "vicaire du Christ", qui orchestre d'incroyables orgies. Dieu tient alors un... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurAGONE
Nombre de pages200
Langue du livreFrançais
AuteurPanizza Oskar
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/11/2008
Poids300 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 14,00 x 22,70 cm
Une tragédie céleste en cinq actes
Vers la fin du XVe siècle, Dieu prend connaissance par ses messagers du Ciel qu'à la cour des Borgia, la morale chrétienne est bafouée par un pape débauché, Alexandre VI, le "vicaire du Christ", qui orchestre d'incroyables orgies. Dieu tient alors un concile où le diable est convoqué. Sa tâche : punir les hommes par où ils ont péché ! Ainsi en l'année 1495, le diable dépêche sur terre une malicieuse créature qui apporte aux hommes une maladie honteuse et divine…Le Concile d'amour, tragédie céleste écrite en 1894, a valu un an de prison à son auteur qui, par la suite, mourut en hôpital psychiatrique. D'une drôlerie parfois très acide, cette pièce est un chef-d'œuvre de la littérature satirique : elle dénonce le pouvoir de l'Église, souligne l'absurdité de ses dogmes, dénie la faute originelle. Son écriture débridée, quelque peu iconoclaste, laisse place spontanément à des intermèdes chorégraphiques et musicaux, mais aussi à des citations de textes classiques et contemporains.Cette réédition est basée sur l’édition allemande de 1897, plus complète avec le Ve acte suivi de son dossier de censure auxquels s’ajoutent une nouvelle traduction et une biochronologie détaillée, véritable document de référence sur Panizza.Sont également présents dans cette édition l’autobiographie (romancée) de Panizza et la préface d’André Breton.