Traitement en cours...
Fermer la notification

Nos lignes téléphoniques

sont actuellement en dérangement. Nous mettons tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais.
En attendant, vous pouvez nous contacter par mail à france@side.fr ou appeler directement votre représentant SIDE.

Afficher la notification

Histoire naturelle. Tome VIII (1760)

Buffon Georges-Louis Leclerc, Schmitt Stéphane, Crémière Cédric
Date de parution 26/03/2014
EAN: 9782745326157
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans ce huitième tome de l’Histoire naturelle, générale etparticulière, daté de 1760, Buffon et Daubenton terminent de traiter des animaux sauvages de France : hérisson, musaraigne, taupe, chauves-souris, loir, lérot, muscardin et surmulot. Puis, sui... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages640
Langue du livreFrançais
AuteurBuffon Georges-Louis Leclerc, Schmitt Stéphane, Crémière Cédric
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution26/03/2014
Poids880 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,80 x 15,00 x 22,00 cm
Œuvres complètes T8
Dans ce huitième tome de l’Histoire naturelle, générale etparticulière, daté de 1760, Buffon et Daubenton terminent de traiter des animaux sauvages de France : hérisson, musaraigne, taupe, chauves-souris, loir, lérot, muscardin et surmulot. Puis, suivant le plan annoncé dès 1749, ils commencent à aborder les espèces étrangères. Cependant la transition ne s’effectue pas brutalement, et un ensembled’animaux de statut géographique incertain ou intermédiaire rendent le passage graduel : ainsi, le cochon d’Inde, animal importé du Nouveau Monde mais devenu commun en Europe ; la marmotte et l’ours, qui vivent sur les marges montagneuses du royaume ; et le castor, présent en France mais dont les sociétés complexes ne s’épanouissent pleinement que dans les grands espaces sauvages de l’Amérique du Nord. Le volume s’achève avec trois espèces indiscutablement exotiques : le raton, le coati et l’agouti.Buffon, comme il l’a fait depuis le début de l’histoire des quadrupèdes, saisit toutes les occasions qu’il peut pour rompre la monotonie des descriptions et aborder des questions scientifiques ou philosophiques plus générales. La «difformité » de la chauve-souris, par exemple, lui permet de réaffirmer sa critique des causes finales et des classifications linnéennes, fondées sur un petit nombre de critères et totalement inapplicables dans le cas présent. De même, l’article sur le castor offre matière à réflexion sur la nature de l’intelligence et des sociétés animales, c’est-à-dire, au-delà, sur la singularité de l’homme.