Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Contes

Defrance Anne, Perrin Jean-François
Date de parution 28/02/2008
EAN: 9782745316110
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Après la vogue des Mille et Une Nuits et de leurs imitations, la publication en 1730 de la trilogie d'Hamilton : Le Bélier, Histoire de Fleur d'Épine, Les Quatre Facardins, ouvre la période persifleuse et satirique du conte merveilleux. Avec beaucoup... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages1600
Langue du livreFrançais
AuteurDefrance Anne, Perrin Jean-François
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution28/02/2008
Poids1640 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)7,60 x 14,00 x 22,00 cm
Après la vogue des Mille et Une Nuits et de leurs imitations, la publication en 1730 de la trilogie d'Hamilton : Le Bélier, Histoire de Fleur d'Épine, Les Quatre Facardins, ouvre la période persifleuse et satirique du conte merveilleux. Avec beaucoup d'humour, l'auteur des fameux Mémoires de Grammont dynamite le genre, soulignant ses clichés, outrant ses artifices, le rendant persifleur et libertin. Crébillon s'en inspirera et beaucoup d'autres conteurs après lui comme Pajon, Cazotte et Duclos, qui se plaisent à dérouler des destinées anti-héroïques et à offrir de nouvelles illustrations à la folie romanesque ambiante. S'il peut encore sembler un jeu gratuit à usage privé chez Tessin, le conte s'assume chez Duclos comme une arme de dénonciation sociale et morale, quand il s'en prend à la superficialité mondaine et aux dérives de l'intelligence qui culminent dans la caricature du bel esprit. Torpillant avec Rousseau l'institution monarchique, avec Diderot les dogmes religieux, avec Cazotte les dogmatismes en tous genres, il prouve en souriant qu'il est encore capable, dans une époque que l'on a parfois jugée comme étant celle de son déclin, d'inventer de nouvelles formes d'écriture, plus ouvertes, dont le roman va s'emparer. En accueillant enfin des reflets fictionnels de lecteurs qui contestent le récit de l'intérieur ou relaient le narrateur premier, le conte du XVIIIe siècle invite plus que jamais à une lecture active et critique de la littérature et du monde.