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Les corsaires de Saint-Malo de Duguay-Troüin à Surcouf

Berbouche Alain
Date de parution 23/02/2018
EAN: 9782737377273
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Venant du latin « cursus » signifiant « pirate », bandit maritime dont le substantif était issu du grec peiratês, « celui qui tente fortune sur la mer », le Corsaire était celui qui s’adonnait à la Course. Comme le Pirate et autres Flibustiers avec ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
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ÉditeurOUEST FRANCE
Nombre de pages48
Langue du livreFrançais
AuteurBerbouche Alain
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/02/2018
Poids156 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,60 x 16,50 x 24,00 cm
Venant du latin « cursus » signifiant « pirate », bandit maritime dont le substantif était issu du grec peiratês, « celui qui tente fortune sur la mer », le Corsaire était celui qui s’adonnait à la Course. Comme le Pirate et autres Flibustiers avec lesquels la confusion sera tenace (la distinction entre le corsaire licite et le pirate hors-la-loi étant d’ordre juridique). La « guerre de Course » légalisée engageait des navires armés par des particuliers pour attaquer les ennemis déclarés. Cette entreprise ambivalente, piraterie ancestrale devenue une institution reposait sur une autorisation de combattre sur la mer au nom de l’État souverain. Au xviie siècle, elle était essentiellement pratiquée par d'honorables gens de mer de Saint-Malo, de Dunkerque et d’ailleurs, ayant besoin de gagner leur vie pendant les conflits maritimes qui les privaient de leurs activités habituelles (la pêche et le négoce) ou qui souhaitaient légitimement s’enrichir en prenant des risques au service de leurs pays. Saint-Malo a été surnommée la cité corsaire, les plus fameux étant Robert Surcouf et Duguay-Troüin.