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Légendes et chansons de gestes canaques (1875)

Bogliolo François, Michel Louise, Dauphiné Joël
Date de parution 28/04/2006
EAN: 9782729707460
Disponibilité Manque temporaire
21-28 mai 1871 : « semaine sanglante » pour la Commune. 35 000 hommes, femmes, enfants fusillés (90 000 selon d'autres estimations), 38 000 prisonniers, dont plus de 4 000 déportés en Guyane et en Nouvelle-Calédonie, le plus loin possible de la métro... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU LYON
Nombre de pages240
Langue du livreFrançais
AuteurBogliolo François, Michel Louise, Dauphiné Joël
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution28/04/2006
Poids420 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 15,50 x 24,00 cm
Suivi de Légendes et chants de gestes canaques (1885) et de Civilisation
21-28 mai 1871 : « semaine sanglante » pour la Commune. 35 000 hommes, femmes, enfants fusillés (90 000 selon d'autres estimations), 38 000 prisonniers, dont plus de 4 000 déportés en Guyane et en Nouvelle-Calédonie, le plus loin possible de la métropole.Condamnée à la déportation en décembre 1871, Louise Michel est embarquée pour la Nouvelle-Calédonie le 24 août 1873.« On ne fait pas six milles lieues pour ne rien voir et n'être utile à rien » écrit-elle à Hugo. Plantes, insectes, houles, cyclones, tout l'intéresse. La rencontre avec Daoumi, les chansons et danses kanaks, auxquelles elle assiste la nuit, « bercée par la voix des brisants », lui ouvrent un univers, une « grande poésie » qu'elle veut vivre et transmettre.À Nouméa, dans le premier journal civil de la colonie, « Petites Affiches de la Nouvelle-Calédonie », elle publie en 1875 « Légendes et chansons de gestes canaques » : travail de métamorphose. Après l'amnistie du 14 juillet 1881, Louise Michel peut rentrer en France. Elle publie en 1885, à Paris, des légendes très remaniées : « Légendes et chants de gestes canaques ».La Calédonie marquera fortement les « Mémoires » (1886) ou le roman (« La Misère », 1882). Une pièce de théâtre située chez les kanaks, « Civilisation », montre (c'est-à-dire dénonce) « comment on civilise ».