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Les justices de l'au-dela. les representations de l'enfer en France et en Italie

Baschet Jérôme
Date de parution 15/02/2014
EAN: 9782728310463
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le déploiement désordonné de la cruauté infernale semble rétif à toute mesure et à toute chronologie. Il s’agit pourtant, dans cet ouvrage, d’historiciser les conceptions et les représentations de l’enfer. A l’opposé des hypothèses d’un déclin des no... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECOLE ROME
Nombre de pages732
Langue du livreFrançais
AuteurBaschet Jérôme
FormatBook
Type de produitLivre
Date de parution15/02/2014
Poids839 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)4,60 x 12,70 x 19,00 cm
LES REPRESENTATIONS DE L ENFER EN FRANCE ET EN ITALIE (XIIE-XVE SIECLE)
Le déploiement désordonné de la cruauté infernale semble rétif à toute mesure et à toute chronologie. Il s’agit pourtant, dans cet ouvrage, d’historiciser les conceptions et les représentations de l’enfer. A l’opposé des hypothèses d’un déclin des normes religieuses au profit des préoccupations séculières, on établit ici que l’importance des représentations infernales ne cesse de s’accentuer au cours de la période étudiée. Pour autant, on ne bascule pas dans le « christianisme de la peur », car l’enfer s’inscrit toujours dans une séquence et le faire peur n’est que le point de départ d’un faire agir. L’image de l’enfer invite à se libérer de la faute qu’elle fait voir, grâce aux moyens de salut offerts par l’Église. L’analyse de plusieurs centaines d’œuvres permet de situer au Camposanto de Pise, dans les fresques de Buonamico Buffalmacco, l’épicentre d’une mutation décisive. S’impose alors un compartimentage des lieux infernaux et une logique pénale prenant pour base principale le septénaire des péchés capitaux. C’est le signe d’une recherche accrue d’efficacité, en rapport étroit avec la pratique de la confession. Dès lors, la figuration de l’enfer est à la fois une incitation à avouer ses fautes et une préparation à l’examen de conscience dont elle anticipe la forme.