Traitement en cours...

Fusion thermonucléaire inertielle par laser - Partie 3 - Volume 1

Dautray Robert
Date de parution 14/04/1995
EAN: 9782727201748
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les recherches sur la fusion thermonucléaire inertielle par laser, sujet de cet ouvrage constitué de trois parties, progressent depuis plus de trois décennies.La troisième partie est relative aux techniques expérimentales et numériques utilisées pour... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCEA
Nombre de pages396
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurDautray Robert
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution14/04/1995
Poids814 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,90 x 16,80 x 24,90 cm
Les techniques expérimentales et numériques
Les recherches sur la fusion thermonucléaire inertielle par laser, sujet de cet ouvrage constitué de trois parties, progressent depuis plus de trois décennies.La troisième partie est relative aux techniques expérimentales et numériques utilisées pour l'étude de l'interaction du rayonnement du laser avec la matière et de la mise en condition du mélange de deutérium et de tritium (DT) par implosion. Le laser à verre au néodyme impulsionnel de grande puissance s'est révélé le plus performant. Son énergie a cru de cinq ordres de grandeur au cours de ces trois décennies, atteignant aujourd'hui 100 kJ - 100TW avec en perspective le mégajoule, seuil requis pour enflammer le DT. Architecture du laser, conversion en fréquence de son rayonnement, lissage et focalisation de ses faisceaux, commande-contrôle-sécurité de l'installation, sont traités. La fabrication et la caractérisation des cibles irradiées par le laser font appel à des techniques submicroniques pour en garantir la symétrie et l'état de surface conditionnant les performances de l'implosion. La compréhension de la physique de l'interaction et de l'implosion, vu leur complexité, ne peut progresser qu'à l'aide de nombreux diagnostics de haute résolution spatiale (µm) et temporelle (ps) notamment pour l'observation du rayonnement X (de quelques eV à quelques keV) et d'une simulation numérique sophistiquée. Les résultats issus, d'une part, du traitement automatisé des signaux et des images de l'expérience, et d'autre part, des codes particulaires d'interaction et des codes hydrodynamiques d'implosion, sont confrontés pour asseoir la modélisation des phénomènes observés.