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Gouverner la ville au Moyen Age

Rigaudière Albert
Date de parution 21/06/1999
EAN: 9782717824063
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
A la remise en cause d'une classification tripartite, rigide et obsolète des gouvernements urbains - villes de commune, villes de franchise et villes de consulat - succède une analyse tout en nuance qui conduit à cerner, avec précision, la notion de ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECONOMICA
Nombre de pages536
Langue du livreFrançais
AuteurRigaudière Albert
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution21/06/1999
Poids850 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,20 x 15,50 x 24,00 cm
A la remise en cause d'une classification tripartite, rigide et obsolète des gouvernements urbains - villes de commune, villes de franchise et villes de consulat - succède une analyse tout en nuance qui conduit à cerner, avec précision, la notion de bonne ville. Réalité vivante dès la seconde moitié du XIIe siècle, elle transcende les catégories existantes. Mettant à …A la remise en cause d'une classification tripartite, rigide et obsolète des gouvernements urbains - villes de commune, villes de franchise et villes de consulat - succède une analyse tout en nuance qui conduit à cerner, avec précision, la notion de bonne ville. Réalité vivante dès la seconde moitié du XIIe siècle, elle transcende les catégories existantes. Mettant à profit ce nouveau cadre institutionnel qui lui ouvre les horizons du royaume, la ville médiévale s'arrache aux pesanteurs régionales pour devenir un instrument privilégié de la construction de l'Etat.Ses administrateurs, qu'ils reflètent une aristocratie d'argent, de culture ou de métier, apportent à l'Etat en formation leur savoir-faire administratif et leur incomparable ingéniosité dans l'art de connaître et de taxer les patrimoines. Mais voilà qu'en ce secteur si vital de l'impôt, la retenue est toujours de mise. Plus qu'à informer le prince et instruire ses agents, c'est davantage à protéger les contribuables face à une fiscalité royale envahissante que s'attachent les gouvernements urbains à un moment où l'Etat contraint chaque jour la ville à payer, pour l'essentiel, le prix de la sécurité en lui imposant d'organiser sa propre défense.A nouveau isolées derrière leurs remparts au lendemain des premiers revers de la guerre de Cent Ans, maîtresses de leur destin et comptables de leurs deniers, les cités du royaume de France imaginent des techniques si minutieuses de gouvernement qu'elles apparaissent, dès lors, comme les vrais laboratoires d'un Etat en pleine mutation.