Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le cinéma nous rend-il meilleurs?

Cavell Stanley, Domenach Élise, Fournier Christian
Date de parution 06/06/2024
EAN: 9782711631766
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans ce recueil d’essais, Stanley Cavell prolonge les deux veines de sa pensée du cinéma : sa réflexion sur l’ontologie du médium et son analyse du cinéma hollywoodien, notamment des comédies du remariage et des mélodrames de la femme inconnue. En ex... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages180
Langue du livreFrançais
AuteurCavell Stanley, Domenach Élise, Fournier Christian
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/06/2024
Poids195 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,90 x 12,50 x 18,00 cm
Dans ce recueil d’essais, Stanley Cavell prolonge les deux veines de sa pensée du cinéma : sa réflexion sur l’ontologie du médium et son analyse du cinéma hollywoodien, notamment des comédies du remariage et des mélodrames de la femme inconnue. En explorant ce que le cinéma qui lui est cher doit à la philosophie de Ralph Waldo Emerson, dans chaque essai Cavell élabore des lectures de films de Rohmer, Hitchcock, Buñuel, Bergman ou Capra, et considère la morale ordinaire qui s’en dégage. Cette morale que les films pensent n’est pas faite de devoirs ou de calculs. Elle est perfectionniste car elle nous enseigne la confiance en soi, elle nous incite à poursuivre un meilleur état du moi, elle nous montre que converser avec les autres est une véritable forme de vie.