Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

L'ombre de la nuit

Bonfand Alain
Date de parution 30/10/2019
EAN: 9782711628995
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Avant d’entrer en philosophie, Alain Bonfand est d’abord historien. Là réside l’originalité de sa démarche phénoménologique.L’ombre de la nuit en est une démonstration singulière.Alain Bonfand, usant d’outils revisités de la phénoménologie, explore... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages152
Langue du livreFrançais
AuteurBonfand Alain
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution30/10/2019
Poids228 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 15,00 x 21,00 cm
La mélancolie et l'angoisse dans les œuvres de Mario Sironi et Paul Klee
« Avant d’entrer en philosophie, Alain Bonfand est d’abord historien. Là réside l’originalité de sa démarche phénoménologique.L’ombre de la nuit en est une démonstration singulière.Alain Bonfand, usant d’outils revisités de la phénoménologie, explore un contraste inattendu. Paul Klee d’une part, artiste stigmatisé dès 1933 dont l’œuvre à cette date est détourné par l’angoisse (motif exploré dans L’oeil en trop). Il lui oppose avec pertinence Mario Sironi, thuriféraire du fascisme alors que son œuvre peint, visité par l’ennui des profondeurs, dément un tel engagement. L’auteur fait vivre, en opposant ces deux artistes, le primat de l’angoisse et de la mélancolie en ces années noires. » (J. Lichtenstein)