Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Sur le bonheur

de Dacie Boèce, d’Aquin Thomas, Imbach Ruedi, Fouche Ide, Imbach Ruedi, Fouche Ide
Date de parution 23/01/2006
EAN: 9782711618057
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’homme peut-il atteindre le bonheur? Le peut-il en cette vie? La philosophie saura-t-elle le rendre parfaitement heureux? C’est à partir des mêmes sources antiques que deux universitaiers du XIII e ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages176
Langue du livreFrançais
Auteurde Dacie Boèce, d’Aquin Thomas, Imbach Ruedi, Fouche Ide, Imbach Ruedi, Fouche Ide
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/01/2006
Poids180 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 11,00 x 18,00 cm
L’homme peut-il atteindre le bonheur? Le peut-il en cette vie? La philosophie saura-t-elle le rendre parfaitement heureux? C’est à partir des mêmes sources antiques que deux universitaiers du XIII e siècle, Boèce de Dacie et Thomas d’Aquin, s’interrogent. Le premier démontre qu’une réalisation du bonheur est possible ici-bas grâce à l’activité philosophique; pour le second, à l’inverse, la raison se sait incapable de procurer un bonheur qui ne sera parfait que dans l’au-delà. Faut-il dès lors insister sur tout ce qui sépare les deux médiévaux, ou juger au contraire plus insigne encore leur souci commun de ne pas disjoindre la quête du bonheur de la “contemplation de la vérité”, atteinte par l’intellect dans son activité la plus parfaite?