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Essai critique sur Baudelaire poète

Trahard Pierre
Date de parution 10/10/2005
EAN: 9782707803191
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Charles Baudelaire avait ses haines et ses adorations. Entre ces deux pôles, fort peu de place (une "peau de chagrin"), toute son œuvre en témoigne. Un tel homme, surtout quand il s'agit d'un artiste, reçoit en général la monnaie de sa pièce de la pa... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurNIZET
Nombre de pages288
Langue du livreFrançais
AuteurTrahard Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/10/2005
Poids340 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 14,00 x 23,00 cm
Charles Baudelaire avait ses haines et ses adorations. Entre ces deux pôles, fort peu de place (une "peau de chagrin"), toute son œuvre en témoigne. Un tel homme, surtout quand il s'agit d'un artiste, reçoit en général la monnaie de sa pièce de la part des critiques : ils vénèrent ou ils détestent. Dans cet ouvrage, Pierre Trahard se livre à un exercice périlleux, singulièrement dans le cas de Baudelaire : tenter, en se concentrant sur les poèmes, une critique objective. L'auteur, relisant Les Fleurs du Mal, doit contenir l'effet d'emportement violent et passionné sans cesse alimenté par le poète, pour apercevoir ce qui est masqué, précisément, par cet effet de lecture purement nerveux. Quand la marée se retire, qu'observe-t-on sur le "cœur mis à nu" de l'estran, tant en ce qui concerne le style, les thématiques ou la portée de l'œuvre ? Le compte-rendu peut sembler assez sévère. Mais l'homme qui le dresse aime suffisamment Baudelaire pour être impartial. Si, contre la figure-archétype d'Hugo, Pierre Trahard reproche in fine l'absence d'universalité de l'œuvre poétique, il est sûr, pour celle-ci, de son immortalité : "Même en cas de naufrage, Baudelaire a donc le droit d'espérer, s'il est vrai que plus tard, bien plus tard, tout au fond des âges à venir, et par-delà l'infinité des temps, quelques beaux vers chanteront dans la mémoire des hommes." A tout prendre, cela vaut déjà beaucoup...