Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le traumatisme post-avortement

FROPO JEAN-REGIS, Allard Florence
Date de parution 25/08/2007
EAN: 9782706705045
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Mon premier contact avec le syndrome postabortif remonte à plus de vingt-cinq ans. C'était peu après la Loi Veil, une amie étudiante en médecine, sympathique, jeune femme libérée, avait décidé d'avorter à la suite d'une grossesse non désirée. Elle ne... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSALVATOR
Nombre de pages160
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurFROPO JEAN-REGIS, Allard Florence
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/08/2007
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 1,40 x 2,10 cm
Mon premier contact avec le syndrome postabortif remonte à plus de vingt-cinq ans. C'était peu après la Loi Veil, une amie étudiante en médecine, sympathique, jeune femme libérée, avait décidé d'avorter à la suite d'une grossesse non désirée. Elle ne se voyait pas poursuivre sa relation avec le père de l'enfant et avait décidé unilatéralement,sans aucun état d'âme, d'interrompre sa grossesse. Lorsque je la revis quelques semaines plus tard, elle était très marquée, elle me confia : C'est dur d'avorter. À chaque fois que je croise un bébé dans une poussette ou un landau, je ressens une terrible douleur au bas-ventre,comme un coup de poignard. Je n'aurais jamais pensé réagir comme cela. Par la suite, en tant que psychiatre, j'ai été témoin de beaucoup de confidences à ce sujet. Les femmes n'en parlent jamais d'emblée, il leur faut une grande mise en confiance, en général, cinq à six heures d'entretien sont nécessaires pour qu'elles puissent évoquer cette souffrance. C'est souvent une souffrance mêlée de honte et de culpabilité. .