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Le mythe de la Grèce blanche

Jockey Philippe
Date de parution 22/03/2013
EAN: 9782701174723
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La Grèce antique a longtemps été réputée « blanche », car l'usure du temps avait effacé les couleurs ornant sculptures et reliefs, pour ne laisser que le marbre blanc. Dès la Renaissance, on célèbre la blancheur des statues exhumées et l'on en fait d... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBELIN
Nombre de pages178
Langue du livreFrançais
AuteurJockey Philippe
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution22/03/2013
Poids376 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 13,50 x 21,50 cm
Histoire d'un rêve occidental
La Grèce antique a longtemps été réputée « blanche », car l'usure du temps avait effacé les couleurs ornant sculptures et reliefs, pour ne laisser que le marbre blanc. Dès la Renaissance, on célèbre la blancheur des statues exhumées et l'on en fait des copies, blanches elles aussi. Cet impérialisme esthétique du blanc trouvera une expression radicale dans les discours racistes exaltant la figure de l'homme occidental blanc, fils de l'Antiquité classique. Les couleurs seront dès lors la marque dégradante de l'autre, du « métèque ». Les dernières technologies donnent les preuves incontestables de la présence de polychromie et d'or sur toute la sculpture grecque, y compris le prestigieux Parthénon, icône suprême de la « Grèce blanche ». Pourtant, il y a encore des réactions incrédules, voire dégoûtées (trop « kitsch » !), et certains archéologues continuent de passer soigneusement au kärcher les derniers témoignages du goût des anciens pour l'or et les couleurs.