Une photographie d’André Kertesz nous ayant éblouis, le texte de Sophie Grenaud en a jailli, comme déplongé de l’onde, comme né du saut, comme une évidence. Au moment de le publier, la statuette du sauteur de taureau, minuscule merveille du musée d’Heraklion, est venu ajouter sa grâce au texte.