Au Burkina Faso, les événements tragiques (mort soudaine, maladie, accident…) ou sortant de l’ordinaire sont forcément interprétés comme étant le résultat d’une intervention malveillante. Il faut donc un coupable à désigner. Ayant grandi dans cette culture, Adrien Bitibaly a pu observer dès son plus jeune âge l’importance des religions traditionnelles dans la société burkinabè.