Cet écrit, vise à montrer la nécessité de replonger dans la pensée et l’essence humaine à nouveau dans l’Être, lieu de l’ouvert. Cet Être irrévolu, des premiers Grecs antiques, de la pensée, repris par Heidegger pour le rendre de plus en plus fondamental, trouve encore un intérêt favorable dans ce monde contemporain comme moment du destin de l’humanité et d’avènement de l’histoire humaine. C’est de là que l’Être trouve sa plénitude et son sens d’être l’ouvert dans son accomplir comme lieu de révélation des possibilités devant surgir dans le néant pour fonder éthiquement l’histoire de l’Homme dans son avenir et devenir en son être permanent sous fond de parole ontologico-ontique. L’enjeu consiste à être ouvert aux possibilités de l’Être encore cachées devant être dévoilées pour se construire le monde dans sa médidation. Sa puissance et richesse résident dans le néant où il fonde son être dans l’immatérialité révélant la matérialité dans laquelle l'homme à son tour se fonde comme second lieu d’exister physiquement.
