Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Les os qui rêvent

Lorenzini Patrick
Date de parution 20/11/2025
EAN: 9782390491248
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Des aphorismes ? Il en traînait plein par terre, suffisait de se baisser pour s’en mettre ras les poches. Un peu comme des plumes tombées d’un cul d’oiseau. En somme, le seul gros danger était, par inattention ou par malveillance, de ramasser les mot... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCACTUS INEBRANL
Nombre de pages64
Langue du livreFrançais
AuteurLorenzini Patrick
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/11/2025
Poids90 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,60 x 10,50 x 18,50 cm
Des aphorismes ? Il en traînait plein par terre, suffisait de se baisser pour s’en mettre ras les poches. Un peu comme des plumes tombées d’un cul d’oiseau. En somme, le seul gros danger était, par inattention ou par malveillance, de ramasser les mots des autres. Ou d’en prélever de trop faciles. Heureusement existait un Guide pour contourner ce genre d’écueil : « Les phrases du silence », une somme aphorissime venue de la Wallonie la plus éclairée. Alors, Gros Pépère s’est penché à nouveau, en a ramassé quelques autres encore, mine de rien, du moment qu’on ne le voyait pas : des bouts d’os, oui, des apophtegmes, des calembours et des contrepets foireux… – Mais alors là, basta, ça suffit, a gueulé dans son dos le Chef des Oiseaux en soufflant la fin du match dans son sifflet d’oiseau. En voilà assez, permettez-moi de vous le dire : tout cela n’a que trop duré ! À force de regarder ailleurs, etc. Mais, au fond, on s’en fiche car on ne voit pas bien ce qu’il foutait là, lui aussi, le Chef des Oiseaux. Puisque, de toute façon, les os en profitaient pour rêver.