Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

An ti ponmponm à Foyal

Landi Elisabeth
Date de parution 01/11/2025
EAN: 9782385801816
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Comment l'aménagement d'une ville peut-il participer à libérer les mémoires coloniales ? Fort-de-France offre un exemple rare et puissant d'une urbanité pensée comme langage politique. Durant plusieurs décennies, sous le long mandat d'Aimé Césaire, l... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurJETS ENCRE
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurLandi Elisabeth
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/11/2025
Poids133 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
La grammaire décoloniale d'Aimé Césaire
Comment l'aménagement d'une ville peut-il participer à libérer les mémoires coloniales ? Fort-de-France offre un exemple rare et puissant d'une urbanité pensée comme langage politique. Durant plusieurs décennies, sous le long mandat d'Aimé Césaire, les choix symboliques opérés dans l'espace public - statues laissées mutilées, places renommées, rues conservées ou débaptisées, sculptures insurgées, toponymie militante - ont contribué à écrire une « grammaire décoloniale » inscrite dans la pierre, le végétal et le récit. Ce travail d'urbanisme poétique transforme la ville en un texte vivant, où chaque lieu engage une réflexion sur l'histoire coloniale, la justice, la mémoire et l'émancipation. En retraçant ces gestes, Élisabeth Landi met en lumière un projet singulier : faire de l'espace urbain un territoire critique, où la mémoire ne fige pas, mais libère.