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Le Désert de Retz

Colette Sidonie-Gabrielle
Date de parution 18/04/2025
EAN: 9782385730338
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Le dessin, à savoir le projet, est source et base de la peinture, de la sculpture et de toute autre activité artistique. » Cette proposition de Michel-Ange est rapportée en 1548 par celui qui restera son premier mémorialiste, le portugais François ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurFARIO
Nombre de pages76
Langue du livreFrançais
AuteurColette Sidonie-Gabrielle
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/04/2025
Poids78 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 11,90 x 15,60 cm
« Le dessin, à savoir le projet, est source et base de la peinture, de la sculpture et de toute autre activité artistique. » Cette proposition de Michel-Ange est rapportée en 1548 par celui qui restera son premier mémorialiste, le portugais François de Hollande qui a fait le voyage de Lisbonne à Rome pour rencontrer le maître. Le « Traité de la peinture », sous-titré « Dialogues avec Michel-Ange », écrit en 1548 — soit deux ans avant les Vies de Giorgio Vasari—, fait du peintre portugais le tout premier historien d’art. L’ouvrage sacrifie au genre du dialogue, alors en vogue en Italie dans les milieux humanistes, cequi donne au texte un tour familier. Nous disposons avec ces « Dialogues » du seul témoignage des opinions de Michel Ange sur la peinture au moment où il peignait. Les thèmes les plus variés y sont abordés : les liens entre l’invention et l’observation, la supériorité de la peinture italienne sur la peinture flamande, la valeur qu’il faut accorder à la rapidité d’exécution, le rôle du peintre dans la cité, jusqu’aux rapports entre l’éphémère et l’art… Se dessine alors, sous la plume d’un témoin profondément impliqué parce que lui-même artiste, le tableau vivant d’une époque et un portrait d’une merveilleuse netteté d’une des plus grands artistes inventeurs de notre culture.Michel-Ange était alors à l'apogée de son génie et de sa gloire ; il avait exécuté la plupart de ses grands travaux : comme peintre, la voûte de la Sixtine ; comme sculpteur, le Moïse, les tombeaux des Médicis. A l'époque même où Francisco recueillait les Dialogues, Michel-Ange peignait la fresque du Jugement Dernier.Cette période des Dialogues — Michel-Ange est alors sexagénaire, fut aussi celle de sa passion chaste, secrète et et mystique pour la femme avec laquelle il dialogua, non seulement en peintre mais aussi en poète : Vittoria Colonna.