Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

La Porte de l'Enfer

Couturiau Paul
Date de parution 08/08/2025
EAN: 9782379920776
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« En ce qui concerne les derniers instants de ma mère, j'ignore comment ils se sont réellement déroulés. Ce qui est sûr, c'est que depuis cette nuit-là, je n'ai cessé de revivre cet ultime Noël. Je lui imagine mille déroulements divers. Je n'ai jamai... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurOTAGO
Nombre de pages252
Langue du livreFrançais
AuteurCouturiau Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution08/08/2025
Poids309 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 14,80 x 21,00 cm
« En ce qui concerne les derniers instants de ma mère, j'ignore comment ils se sont réellement déroulés. Ce qui est sûr, c'est que depuis cette nuit-là, je n'ai cessé de revivre cet ultime Noël. Je lui imagine mille déroulements divers. Je n'ai jamais envisagé de reprendre l'enquête de la police à mon compte. Pour moi, il n'y a pas un assassin. Il y en a une multitude. Mon père d'abord, ce milicien de passage, qui n'a peut-être jamais su que j'existais. Tous les clients du Café de Sablon ensuite, qui offraient à ma mère le dérivatif qu'elle cherchait de temps à autre, sans jamais se demander si elle n'avait pas plus besoin de coeur que de cul. Ma grand-mère aussi. Et puis, le monde qui a oublié le sens du mot amour. »