Sombre petit traité de poésie quantique

Ce traité recense un certain nombre d’idées se rapportant à un monde livré à lui-même, inexploré, délimitant le champ du réel et de l’imaginaire. Suivant le cours de ses pensées, l’auteur randonne à travers tout ce qui l’a poussé à créer une poésie quantique, c’est à dire une poésie du vide, de l’écart temps et du non-scientifique, une poésie qui échappe aux calculs et qui donne des spéculations aux hommes sur un monde obscure, celui des galaxies inexplorées.Dans ce traité, l’auteur revendique comme sienne la découverte d’une planète inconnue Paulanter B qui s’apparente à cette cousine Proxima B dont les spéculations vont bon train de nos jours. Pourquoi l’homme est-il confronté à des phénomènes d’apparition ?... L’auteur considère qu’il est digne d’y répondre. Ce qui est à l’origine d’une poésie libre et naturelle, c’est l’hypothèse lyrique que tout dans le monde est création et que l’homme, par cet irrationnel, peut aboutir à un nouveau langage.