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Les fêtes celtiques

le roux françoise, guyonvarc'h christian
Date de parution 21/11/2015
EAN: 9782367470160
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Un guide indispensable pour la connaissance de l’ancien folklore celtique.L’américanisation de nos sociétés a popularisé la fête d’Halloween — ou plus exactement Samhain, selon son nom irlandais — dont les médias ne manquent pas, à chaque automne, de... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurYORAN EMBANNER
Nombre de pages244
Langue du livreFrançais
Auteurle roux françoise, guyonvarc'h christian
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution21/11/2015
Poids362 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,50 x 15,50 x 22,00 cm
Un guide indispensable pour la connaissance de l’ancien folklore celtique.L’américanisation de nos sociétés a popularisé la fête d’Halloween — ou plus exactement Samhain, selon son nom irlandais — dont les médias ne manquent pas, à chaque automne, de rappeler la lointaine origine celtique. Mais derrière son aspect folklorique et festif, en quoi consistait-elle exactement ? Quelle était sa signification ? Sa symbolique ? Sa place parmi les autres fêtes célébrées par les Celtes de l’Antiquité ?Alors que la thématique celtique connaît un regain d’intérêt, cet ouvrage se veut une initiation claire et précise aux quatre principales fêtes celtiques : Samhain, le 1er novembre, qui ouvre l’année celtique ; Imbolc, le 1er février ; Beltaine, le 1er mai ; et Lugnasad, le 1er août.Avec un décalage d’environ quarante-cinq jours sur la date calendaire réelle, ces fêtes se répartissent en deux catégories : les fêtes solsticiales de Samhain et Beltaine, et les fêtes équinoxiales d’Imbolc et de Lugnasad. Seules les deux grandes fêtes de novembre et de mai comportaient des sacrifices et des cérémonies religieuses, tandis que la fête d’août était celle des moissons, et celle de février un rituel de purification (ou lustration).Ces quatre fêtes sont étudiées ici à partir des sources irlandaises médiévales, qui constituent, du Moyen Âge à l’époque contemporaine, la seule base valable de documentation et d’interprétation.