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REVUE XXI N° 62 - Le fantôme du Quai Branly

COLLECTIF
Date de parution 28/06/2023
EAN: 9782356381743
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Comment raconter, en journalistes, ce qui relève de la croyance ou peut-être, tout simplement, échappe à nos sens ?L'invisible, l'imperceptible à l'œil nu. La question se pose dans ce numéro d'été, qui espère vous faire voyager.Ce sont d'abord les ré... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurXXI
Nombre de pages180
Langue du livreFrançais
AuteurCOLLECTIF
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution28/06/2023
Poids482 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 19,20 x 27,50 cm
Comment raconter, en journalistes, ce qui relève de la croyance ou peut-être, tout simplement, échappe à nos sens ?L'invisible, l'imperceptible à l'œil nu. La question se pose dans ce numéro d'été, qui espère vous faire voyager.Ce sont d'abord les réactions des femmes de ménage qui ont mis la puce à l'oreille du journaliste Pierre Carrey : elles refusent de travailler devant certaines œuvres du musée du Quai Branly. Les statuettes seraient-elles hantées ? Passées au scanner, désacralisées lors de cérémonies, cachées au sous-sol, elles provoquent en tout cas des réactions bien particulières. Les chasseurs de trésors, eux, craignent les djinns, en Turquie, et peut-être plus encore en cette période électorale. Ils n'y croientpas, mais sait-on jamais. Il faut dire qu'ils pillent des tombes arméniennes, dans l'espoir de faire fortune. Miroir aux alouettes, ou retour du refoulé ? Comme en Irak, où doivent vivre cloîtrés les enfants d'anciens membres de Daech, et pour la reconnaissance desquels les mères se battent aujourd'hui. En France, à l'Assemblée nationale, les invisibles, ce sont les gardes, les fleuristes ou encore les cuisiniers, qui ne témoignent jamais. Ils ont accepté ¿ une première ¿ d'être suivis par Kokopello, en BD, et racontent un espace clos soumis à l'accélération du temps législatif, de plus en plus malmené. Dans d'autres enceintes, celles de parcs naturels, en Afrique, c'est une nature sauvage pour chasseurs occidentaux et grandes entreprises qui est préservée à coup d'interdictions, au détriment des populations vivant sur place, et sous couvert de protection de la biodiversité. Il semble qu'aujourd'hui, l'invisible se fasse très géopolitique.