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Une Presse nationale de combat (1960-197...)

Brun Jean-Pierre, Randa Philippe
Date de parution 01/06/2010
EAN: 9782353741717
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Distinction algérianiste 2011 – Essai historiqueVaincus d’une guerre civile que le Régime ne voulait surtout pas présenter comme telle, un autre combat s’im­posa aux partisans de l’Algérie française : obtenir l’amnistie des prisonniers de l’OAS qui c... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDUALPHA
Nombre de pages290
Langue du livreFrançais
AuteurBrun Jean-Pierre, Randa Philippe
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/06/2010
Poids260 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,20 x 14,80 x 21,00 cm
Distinction algérianiste 2011 – Essai historiqueVaincus d’une guerre civile que le Régime ne voulait surtout pas présenter comme telle, un autre combat s’im­posa aux partisans de l’Algérie française : obtenir l’amnistie des prisonniers de l’OAS qui continuaient de croupir dans les geôles du Général « Moi ».Pour mener ce nouveau combat, il leur fallait faire connaître leur vérité. D’où les multiples tentatives de presse, plus ou moins fruc­tueuses, dans lesquelles l’auteur et quelques autres se lancèrent avec la fougue de la jeunesse, l’inconscience de la foi, la bravoure du militant et la ra­ge de ceux qui ne digèrent jamais la trahison, quelle soit militaire ou politique… Qui plus est quand celle-ci est les deux à la fois !D’activistes, ils devinrent donc militants. Leur engage­ment politique devenait journalistique et littéraire. Soldats ils étaient, soldats ils restaient, même reconvertis en hom­mes de plume… Le temps des fusils faisait place à celui du clavier des machines à écrire.Jean-Pierre Brun, Jean Bourdier, Jacques Perret, Hubert Bassot, Raoul Girardet, Jules Monnerot ou Philippe Héduy, et quelques autres encore étaient décidés à rendre coup pour coup. L’ennemi qui ne les avait pas tué les avait-il rendus plus forts ? Il est cer­tain en tout cas qu’ils les avaient fait plus féroces encore si cela était possible. Jean-Pierre Brun nous raconte ce qu’il advint de ces activistes vaincus, de ces militants orphelins d’un Parti – mais Français toujours ! – avec moults anecdotes, plus sou­vent drôles, très drôles, que tristes, même et surtout si elles furent parfois pathétiques.C’était un temps que les moins de deux fois vingt ans ne peuvent pas avoir connu. Un temps où Jacques Laurent, Geneviève Dormann, Roger Nimier, Antoine Blondin pre­naient leur envol vers la renommée littéraire sans pour cela cacher leurs idées sur un monde comme il n’allait décidément toujours pas, De Gaulle regnant…Un temps où apparaissaient avant de s’imposer les noms de Jean Mabire, Marc Dem, Alain de Benoist, Serge de Beketch, Roland Gaucher, André Figueras, Georges Laffly, Dominique Venner, Dominique de Roux, voire également ceux de Jean Cau ou de Michel Déon…Une presse nationale de combat (1960-197…) est une ode au militantisme d’une droite littéraire pétillante de vigueur qui prépara, avec autant de talents que de rage, le terrain politique pour un retour sur la scène électorale… qui ne se fera qu’à partir des années 80. Jean-Pierre Brun lui rend un hommage mérité. Il n’avait que trop longtemps attendu !