Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Épilogue d'une guerre clandestine (Nouvelle édition)

Moutassi Jean-Pierre
Date de parution 26/01/2022
EAN: 9782343244600
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Entre 1954 et 1964, à la suite d’un désaccord autour d’une indépendance controversée, la France a commis un génocide au Cameroun dans une guerre clandestine. Ce livre révèle que la décolonisation du Cameroun s’est faite dans un bain de sang, avec un ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurL'HARMATTAN
Nombre de pages368
Langue du livreFrançais
AuteurMoutassi Jean-Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution26/01/2022
Poids560 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 15,50 x 24,00 cm
Verdict sur le génocide français au Cameroun (1954-1964) - (1954-1964)
Entre 1954 et 1964, à la suite d’un désaccord autour d’une indépendance controversée, la France a commis un génocide au Cameroun dans une guerre clandestine. Ce livre révèle que la décolonisation du Cameroun s’est faite dans un bain de sang, avec un bilan de 500 000 victimes en dix ans. Il recoupe les faits réels qui sont substantiels pour une réévaluation de ce crime contre l’humanité. Ces faits, bien qu’ils aient été clandestins, restent des faits. Il s’agit de faire de cette ombre dans la mémoire du peuple, un fait d’histoire.