Traitement en cours...

La réalité de la micro finance islamique en Tunisie

Sghaier Asma, Farjallah Nadia
Date de parution 07/01/2022
EAN: 9782312088044
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La micro-finance islamique est un vaste domaine de recherche, qui combine non seulement les sciences économiques et financières avec la charia et les principes islamiques, mais aussi la sociologie, la psychologie, l’écologie, la politique et la cultu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDU NET
Nombre de pages120
Langue du livreFrançais
AuteurSghaier Asma, Farjallah Nadia
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution07/01/2022
Poids203 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,70 x 15,00 x 23,00 cm
La micro-finance islamique est un vaste domaine de recherche, qui combine non seulement les sciences économiques et financières avec la charia et les principes islamiques, mais aussi la sociologie, la psychologie, l’écologie, la politique et la culture.Notre recherche avait pour ambition de mesurer la contribution spécifique de la micro-finance à l’amélioration de revenu des populations pauvre vivant en Tunisie. On remarque que malgré l’existence de deux grandes Institutions la BTS et Enda Interarabe qui couvrent le secteur de la micro-finance et qui ont financés par plusieurs bailleurs de fonds comme la Banque Africaine de développement, PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), FENU (Fonds d’équipement des Nations Unies) et la banque mondiale, restent incapables d’améliorer le secteur par l’existence de ses limites :Les difficultés de toucher efficacement les zones rurales en raison d’une inadéquation du modèle. Ainsi concernant les populations touchées par le secteur, celles-ci n’intègrent pas majoritairement les plus pauvres qui sont en effet la clientèle la moins accessible géographiquement, la plus marginalisée et présentant le moins de garanties, donc plus coûteuse en frais généraux.Enfin, la dernière faiblesse est le manque des compétences et de formation des équipes locales, et l’absence totale pour les formations pour les bénéficiaires.