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Carnets de guerre 1914-1918 du Médecin Major Jules Beyne

Ouvrage collectif de la famille de Jules Beyne
Date de parution 25/05/2012
EAN: 9782312003344
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’auteur : le médecin général Jules Beyne (1880-1968) est connu comme le fondateur de la médecine aéronautique en France : grâce à lui l’expertise du personnel navigant, la recherche et l’enseignement ont été développés entre les deux guerres mondial... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDU NET
Nombre de pages326
Langue du livreFrançais
AuteurOuvrage collectif de la famille de Jules Beyne
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/05/2012
Poids456 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,40 x 15,00 x 23,00 cm
L’auteur : le médecin général Jules Beyne (1880-1968) est connu comme le fondateur de la médecine aéronautique en France : grâce à lui l’expertise du personnel navigant, la recherche et l’enseignement ont été développés entre les deux guerres mondiales. Mais rares sont ceux qui ont connaissance des épreuves qu’il a partagées, en tant que médecin de son régiment, avec les braves du 283e régiment d’infanterie pendant 1501 jours de guerre.Ce sont les notes, brutes, dans l’état où il les a écrites au jour le jour, que nous présentons. Ces notes dont il disait « En dehors des souvenirs qu’elles fixent ou qu’elles évoquent pour moi, [elles] n’ont d’autre valeur que leur sincérité dans le moment où elles furent écrites ». Cependant, à travers ses réflexions, ses inquiétudes, ses doutes, ses interrogations, on comprend comment un acteur du drame a vécu et analysé le conflit.Il raconte la retraite éperdue des survivants de son régiment décimé dans le combat d’Eton en août 1914. Il dit avec un humour féroce l’absurdité de certaines missions « destinées à conquérir les plumes blanches » de certains grands chefs, exprime l’ennui et la mélancolie des longs jours d’attente. Il nous emmène dans les profondeurs de son poste de secours du secteur de Fleury près de Verdun, où des hommes hallucinés, sortis des peintures noires de Goya, suffoquent dans l’angoisse.Des photographies que Jules Beyne nous avait transmises illustrent ce récit complété par des cartes des champs d’opération successifs et des notes explicatives.