Cerveaux, tréfonds des âmesAux reliefs inondés peuplés de molochs,De méduses translucides et phosphorescentes,D’ectoplasmes à l’affût Les ellipses flottantes du passéSurgissent en brut, à la surface,Comme ce rocher, cet édifice prodigue.Ces joyeux néons d’enfances ensevelies,Se cachent dans nos faces,Dans ses sables denses et profonds. Cerveaux, fonds marins et insondésQui sait ce que tes vaguesCharrient et enfermentSous tes ombres polymorphes.