Le fleuve est calmeSemblable à ton âmeEndormie, apaiséeLe soleil se cacheLa lune apparaitNous on se détacheMon coeur disparaîtVous plus rien ne vous toucheMoi je pleure lorsque je me coucheJ’ai demandé que l’on m’aimeEn attendant j’écrisII parait qu’on récolte ce que l’on sèmeAlors je crie