« Ah, qu’elle était jolie la petit chèvre de M. Seguin avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants… »Le conte sans doute le plus tendre et le plus cruel d’Alphonse Daudet dans son intégralité.Le texte a servi de support au conte musical La Chèvre de Monsieur Seguin, d'Olivier Penard.